KTO en Direct

Depuis le plateau de QCM, Quiz du Chrétien en Marche, Jérémy Côme pose une question aux téléspectateurs sur un sujet en rapport avec le christianisme. Saurez-vous répondre et participer à notre émission ? A la clé, un voyage et bien d’autres cadeaux...

Chaque semaine, retrouvez les dernières nouvelles des chrétiens de Terre Sainte. En partenariat avec le Christian Media Center de la Custodie de Terre Sainte : https://www.cmc-terrasanta.com/fr

Quand on a découvert comme c’est bon d’ouvrir sa porte au Seigneur Jésus, on n’a plus envie de le quitter. On tend à la prière continuelle. Ça ne veut pas dire qu’on passe son temps à prier, à dire le chapelet ou à réciter des psaumes, ça veut dire que l’on vit habituellement en présence de Dieu, sous son regard, où que nous soyons et quoi que nous fassions. Notre coeur est « pris ». Tous les chrétiens sont appelés à être des écoliers de la prière continuelle.

Malgré la forte tradition catholique du pays, les vocations ont chuté et moins de chrétiens vont à la messe le dimanche. Dans un contexte de forte sécularisation, l’Eglise en République d’Irlande affaiblie par des scandales d’abus sexuels révélés au début des années 2000, est appelée à se renouveler. Mais comment faire ? Un signe encourageant : l’essor des mouvements de jeunes catholiques. Eclairage avec notre invité, le père Jim Doyle, prêtre du diocèse de Ferns en Irlande et aumônier des irlandais à Paris.

Courtes paraboles racontées par le père Pierre Trevet, prêtre du diocèse du Puy-en-Velay. Tirées des livres éponymes dont il est l’auteur, elles sont autant d’images inspirées pour goûter la sagesse chrétienne.

Du 6 au 13 août 1942, plus de 3 000 juifs sont sélectionnés dans des camps du sud-ouest de la France et acheminés par train jusqu’à Auschwitz via Drancy. Parce qu’elle fait partie du Comité catholique d’aide aux étrangers, une femme du nom de Thérèse Dauty, assiste à ces scènes terribles. Elle en informe alors Mgr Jules Saliège qui, quelques jours plus tard, demande à l’ensemble de ses prêtres de lire en chaire une protestation : oui, les Juifs sont des hommes, les Juives sont des femmes. Ce nouveau numéro d’"Au Risque de l’Histoire" propose d’explorer une page méconnue de l’histoire du catholicisme. On parle souvent des catholiques dans la Résistance sans voir qu’il existait aussi une Résistance à proprement parler catholique et qui possède une capitale : Toulouse. "Il faut comprendre que lorsque Mgr Saliège publie sa lettre en août 1942, c’est la première fois qu’un prélat de cette importance prend la parole au sujet des persécutions contre les Juifs. Grâce à cela, il va permettre que les déportations de Drancy cessent complètement pendant plus de 3 mois !", raconte Maurice Lugassy, Directeur de l’Institut universitaire juif de Toulouse et du Mémorial de la Shoah (sud de la France). "Il y a des gens qui ont parlé, d’autres qui ont agit. Monseigneur Saliège, lui, a fait les deux et c’est sans doute pour cela qu’on peut dire qu’il est un cas unique dans l’histoire de la Résistance", souligne Jean-Pierre Denis, journaliste et écrivain.

Sensibiliser à la trisomie 21 sur les chemins de Compostelle, c’est le défi que se sont donné Cyprien Francart et sa fille Philippine, 13 ans, porteuse de la maladie et d’une cardiopathie opérée à 3 ans. Depuis plusieurs années, chaque été, ils parcourent une partie du chemin pour finir par atteindre Compostelle après 2200 km à pied et sur roues. Ce soir, sur le plateau de KTO, le père et la fille sont réunis pour partager cette aventure physique et familiale, mais aussi spirituelle.

À la une dans SIC du lundi 14 octobre 2024 : La lettre de François aux futurs cardinaux, Les 50 ans du diocèse du Havre, La prière pour la Martinique... Mais aussi : La veillée de prière oecuménique en marge du Synode à Rome, Le décès de Carlos Payan, pasteur engagé pour l’unité des chrétiens, Les Rencontres nationales 2024 des aumôniers de prison à Lourdes, La Vierge de Rocamadour arrivée aux Sables d’Olonne pour le départ du Vendée Globe, Le Festi’frat dans le diocèse de Nantes, Les 150 ans de la Maison Médicale Jeanne Garnier à Paris, Et un nouveau site pour la revue d’art sacré "Narthex". Avec SIC, retrouvez en 6 minutes la sélection de l’info catholique du week-end à ne pas manquer !

Au Liban, les bombardements israéliens dans le sud et l’est ont provoqué le déplacement d’1,2 million de personnes dans un pays qui compte moins de 6 millions d’habitants, déjà fragilisé par de multiples crises. Face à la gravité de la situation, des chrétiens mobilisés sur place pour l’accueil des familles, les soins aux blessés, le maintien des écoles, expriment leurs besoins urgents et très concrets. Des chrétiens restés dans les villages du sud témoignent également. Associons-nous à l’OEuvre d’Orient pour soutenir les Libanais. Vincent Gelot, directeur de l’OEuvre d’Orient pour le Liban et la Syrie, participe à cette émission, ainsi que Mgr Pascal Gollnisch, directeur général de l’OEuvre d’Orient et Charles Personnaz, président du Fonds des Ecoles d’Orient. Ils expliqueront leurs actions de soutien, l’aide nécessaire. Ils apporteront également leur éclairage sur la situation. Une émission présentée par Etienne Loraillère, en partenariat avec l’OEuvre d’Orient.

A 7h25, KTO retransmet la messe chaque lundi, et les Laudes suivies de la messe du mardi au samedi, en direct de la basilique Notre-Dame de la Garde à Marseille. Cette retransmission quotidienne est proposée grâce au recteur de la basilique Notre-Dame, le père Olivier Spinosa, et à l’archevêque, Mgr Jean-Marc Aveline, qui ont bien voulu mettre leurs moyens en commun avec ceux de la chaîne de télévision catholique. La Bonne Mère veille ainsi, plus que jamais, sur la ville, les deux rives de la Méditerranée et le monde entier.

Marie-Noëlle Thabut lit et commente le psaume du 29e dimanche ordinaire, année B : psaume 32 (33), 4-5. 18-18. 20.22.

Cette semaine La Foi prise au mot s’intéresse à une réalité de l’Église qui s’est considérablement modifiée depuis une vingtaine d’années en Europe : la paroisse. On est loin de cette entité géographique qui correspondait à peu près à un gros village ou à un petit quartier urbain avec le prêtre comme figure centrale de la communauté, qui s’occupait de ses paroissiens, du baptême à la sépulture. La diminution de la pratique religieuse n’est pas seule en cause : le changement des habitudes des chrétiens, mais aussi globalement de la société, a bouleversé toute l’organisation diocésaine. "Le fait est que c’est dur d’être curé de paroisse, parce qu’on on est soi-même fragile, qu’on accueille beaucoup de fragilités et qu’on a beaucoup de missions très diversifiées. En bref, cela demande une énergie colossale pour accueillir tout le monde avec bienveillance et pour que chacun trouve sa place. Si on veut aller plus loin que juste la messe et les services, il faut créer un espace où le prêtre partage sa charge pastorale avec d’autres, notamment des laïcs. Et il est très bon qu’il y ait un deuxième prêtre, pour qu’ils se soutiennent, mais aussi qu’ils puissent parfois se neutraliser sur certains sujets", témoigne Matthieu Bobin, prêtre du diocèse de Cambrai. "On s’est aperçu que la paroisse reste absolument essentielle, d’abord comme lieu central des communautés, mais aussi comme porte d’entrée pour les nouveaux convertis. Depuis le COVID, on voit surgir énormément de demandes de sacrements de toute une génération qui n’a pas été baptisée ni catéchisée. Pour eux, la paroisse reste souvent la première porte ouverte pour explorer, commencer ou développer leur vie de foi", raconte quant à lui Christophe Danset, prêtre du diocèse de Lille.

À Chypre, un mage, Élymas, prodigue avec bonheur ses conseils au proconsul romain, un païen, taraudé par les questions religieuses. Élymas est semblable aux manipulateurs et abuseurs d’hier et d’aujourd’hui qui emportent dans leur sillage désaxé ceux qui succombent à leurs discours. Élymas, l’imposteur, caricature de la religion et de la sagesse, à laquelle Paul, l’apôtre du Christ Jésus, oppose la force vivifiante et libérante de l’Évangile !

Sensibiliser à la trisomie 21 sur les chemins de Compostelle, c’est le défi que se sont donné Cyprien Francart et sa fille Philippine, 13 ans, porteuse de la maladie et d’une cardiopathie opérée à 3 ans. Depuis plusieurs années, chaque été, ils parcourent une partie du chemin pour finir par atteindre Compostelle après 2200 km à pied et sur roues. Ce soir, sur le plateau de KTO, le père et la fille sont réunis pour partager cette aventure physique et familiale, mais aussi spirituelle.

À l’occasion de la Semaine Missionnaire Mondiale 2024, le père Bertrand de Bourran, prêtre des Missions Étrangères de Paris, témoigne de ses 27 années de mission à Madagascar. Cette année, le thème de la semaine est : « Allez et invitez tout le monde à la noce » (Mt 22,9). Un témoignage réalisé en partenariat avec les OEuvres Pontificales Missionnaires.

KTO se mobilise pour permettre au plus grand nombre de suivre les célébrations quotidiennes des messes. Suivez en direct, tous les jours à 10h, la messe diffusée depuis Lourdes.

Du 6 au 13 août 1942, plus de 3 000 juifs sont sélectionnés dans des camps du sud-ouest de la France et acheminés par train jusqu’à Auschwitz via Drancy. Parce qu’elle fait partie du Comité catholique d’aide aux étrangers, une femme du nom de Thérèse Dauty, assiste à ces scènes terribles. Elle en informe alors Mgr Jules Saliège qui, quelques jours plus tard, demande à l’ensemble de ses prêtres de lire en chaire une protestation : oui, les Juifs sont des hommes, les Juives sont des femmes. Ce nouveau numéro d’"Au Risque de l’Histoire" propose d’explorer une page méconnue de l’histoire du catholicisme. On parle souvent des catholiques dans la Résistance sans voir qu’il existait aussi une Résistance à proprement parler catholique et qui possède une capitale : Toulouse. "Il faut comprendre que lorsque Mgr Saliège publie sa lettre en août 1942, c’est la première fois qu’un prélat de cette importance prend la parole au sujet des persécutions contre les Juifs. Grâce à cela, il va permettre que les déportations de Drancy cessent complètement pendant plus de 3 mois !", raconte Maurice Lugassy, Directeur de l’Institut universitaire juif de Toulouse et du Mémorial de la Shoah (sud de la France). "Il y a des gens qui ont parlé, d’autres qui ont agit. Monseigneur Saliège, lui, a fait les deux et c’est sans doute pour cela qu’on peut dire qu’il est un cas unique dans l’histoire de la Résistance", souligne Jean-Pierre Denis, journaliste et écrivain.